Les souris représentent un problème sérieux dans les environnements urbains comme Montréal, en raison de leur capacité à se reproduire rapidement, à s’adapter aux infrastructures humaines et à transmettre divers risques sanitaires et environnementaux.
Conséquences sur la santé publique
- Propagation de maladies :
Les souris peuvent véhiculer plusieurs agents pathogènes, notamment :
- Le hantavirus (bien que plus rare au Québec, il reste une préoccupation potentielle),
- La salmonellose, via la contamination des aliments par leurs excréments ou urine,
- La leptospirose, transmise par l’eau ou le sol contaminé,
- Des allergènes présents dans leurs urines, poils ou squames, pouvant aggraver l’asthme ou provoquer des réactions allergiques, surtout chez les enfants.
Dans les résidences, restaurants ou épiceries, les souris souillent les denrées avec leurs déjections, augmentant les risques d’intoxication alimentaire.
Leur besoin constant de ronger (pour user leurs incisives en croissance continue) les pousse à mâchonner des câbles électriques, isolants, tuyaux et matériaux de construction, ce qui peut causer des incendies, des fuites d’eau ou des dysfonctionnements dans les systèmes de sécurité.
Impacts environnementaux
- Perturbation des écosystèmes urbains : Bien que les souris soient des espèces opportunistes, leur surpopulation peut déséquilibrer localement la faune urbaine en concurrençant d’autres petits mammifères ou en attirant des prédateurs non indigènes.
- Pollution par les déchets biologiques : Leur présence en grand nombre dans les immeubles, les ruelles ou les stations de tri contribue à une accumulation de déchets organiques qui peuvent nuire à la qualité de l’environnement urbain.
Rôle des professionnels de l’extermination à Montréal
Les professionnels d’extermination de souris certifiés offrent des solutions bien plus efficaces et durables que les méthodes de bricolage :
- Évaluation exacte de l’infestation :
Ils identifient les espèces (souris domestique vs. campagnole, par exemple), les points d’entrée, les zones d’activité et l’ampleur du problème. - Interventions ciblées et sécuritaires :
Utilisation de pièges mécaniques, de leurres non toxiques ou, si nécessaire, de rodenticides appliqués selon les normes de Santé Canada et du MDDELCC, en minimisant les risques pour les humains, les animaux domestiques et la faune non ciblée. - Astuces de prévention :
Ils recommandent des mesures correctives (colmatage des fissures, gestion des déchets, stockage des aliments) pour éviter les réinfestations — crucial dans un climat comme celui de Montréal, où les rongeurs cherchent refuge à l’intérieur dès l’automne. - Adhérence aux normes réglementaires :
Les entreprises accréditées respectent les règlements municipaux et provinciaux en matière de contrôle des nuisibles, notamment dans les bâtiments à louer ou les commerces. - Surveillance et maintenance :
Certains offrent des programmes de surveillance continue, particulièrement utiles dans les zones à risque élevé (proches des voies ferrées, marchés publics, ruelles denses, etc.).
Pour conclure, à Montréal, où la densité urbaine et les hivers rigoureux favorisent la cohabitation involontaire avec les rongeurs, Il est primordial d’agir rapidement et de manière professionnelle. Elle protège non seulement la santé des occupants, mais aussi l’intégrité des bâtiments et la salubrité de l’environnement urbain. Faire appel à un exterminateur expérimenté et certifié comme ECRN Extermination constitue une démarche responsable, efficace et souvent plus économique à long terme que les solutions improvisées.
